Ottawa, Canada – Dans une manœuvre audacieuse qui a laissé les politiciens du monde entier bouche bée, le Premier ministre du Canada, Justin Trudeau, a annoncé lors d’une conférence de presse éblouissante l’introduction d’une taxe carbone révolutionnaire ciblant un coupable inattendu du changement climatique : les flatulences des rennes du Père Noël.

«Mes chers concitoyens, il est temps d’agir contre le changement climatique avec audace et créativité», a déclaré Trudeau, vêtu d’un costume vert émeraude, symbolisant son engagement pour l’environnement. «Après une recherche approfondie, il est clair que les émissions de méthane provenant des rennes du Père Noël sont un contributeur majeur au réchauffement de notre planète. Aujourd’hui, nous prenons une mesure courageuse pour y remédier.»

L’initiative, baptisée «Operation Rudolph», propose une taxe progressive sur les flatulences de chaque renne, calculée en fonction de la quantité de gaz émise. Les revenus générés seront investis dans des projets de reforestation et de développement de technologies renouvelables.

Les critiques ont rapidement souligné l’absurdité apparente de cette proposition. «C’est un coup de publicité ridicule», a déclaré un politicien de l’opposition, «Nous sommes à court de solutions réelles pour le climat, et voilà que Trudeau taxe des créatures mythiques !» Cependant, des supporters enthousiastes du parti libéral ont applaudi l’approche novatrice, arguant que «toute contribution, même symbolique, est essentielle dans la lutte contre le changement climatique».

Le débat s’est enflammé sur les réseaux sociaux, où les hashtags #RudolphTax et #MethaneMadness ont rapidement gagné en popularité. Des mèmes hilarants ont inondé Internet, certains montrant Trudeau coiffé d’un bonnet de Père Noël, inspectant personnellement les rennes du Pôle Nord.

Les scientifiques, quant à eux, sont perplexes. «Bien que les émissions de méthane soient un problème sérieux, je ne suis pas sûr que cibler les flatulences des rennes soit la meilleure approche», a déclaré un climatologue de renom, luttant pour garder son sérieux.

En réponse, le bureau du Premier ministre a publié une déclaration : «Nous sommes déterminés à explorer toutes les pistes pour combattre le réchauffement climatique, même les plus inattendues. Si cela signifie collaborer avec le Père Noël pour un avenir plus vert, alors soyez assurés que le Canada est prêt à prendre les devants.»

Alors que la communauté internationale reste divisée sur cette question, une chose est sûre : le Canada s’est positionné une fois de plus comme un pionnier audacieux dans la lutte contre le changement climatique, avec ou sans l’aide des rennes du Père Noël.

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