Dans une tentative audacieuse de soulager la charge mentale des citoyens, la Ville de Québec a décidé d’étendre les heures de fonctionnement des parcomètres, tout en réchauffant le cœur des contribuables en augmentant les taxes municipales. Une décision qui, selon les autorités, vise à «libérer l’esprit des citoyens de la trépidation quotidienne tout en soutirant délicatement quelques dollars de plus de leurs portefeuilles.»
Le maire, Gérard Pensepas, a annoncé cette initiative avec un grand sourire, déclarant que «c’est une mesure novatrice qui garantira que chaque citoyen ait la chance de contribuer encore plus au développement de notre belle ville, tout en oubliant les petites tracas du stationnement.»
Dorénavant, les parcomètres seront opérationnels de 9 heures à 21 heures tous les jours. Pour les lève-tôt et les oiseaux de nuit, il y aura des séances spéciales de «stationnement relaxant» entre 3 heures et 5 heures du matin, où le tarif doublera pour encourager la détente nocturne.
Les résidents ont exprimé leur enthousiasme quant à cette mesure qui, selon eux, leur permettra de se débarrasser de la «charge mentale insupportable» de se demander si leur voiture est correctement garée. Marc Sans-souci, un citoyen heureux, a déclaré : «Enfin, nous pourrons vaquer à nos occupations sans la crainte constante du temps qui s’écoule sur le parcomètre. C’est une révolution dans notre qualité de vie.»
Cependant, cette décision n’est pas sans conséquences financières. La municipalité a annoncé une augmentation des taxes pour financer ce «service exceptionnel». Selon les experts en finances publiques, cette hausse sera «un investissement dans le bien-être psychologique des citoyens, qui pourront se réjouir du fait que leur argent sert à soulager leurs esprits tourmentés.»
«L’opposition» politique, bien que peu audible dans le brouhaha du soulagement des automobilistes, a critiqué cette mesure comme une tactique délibérée pour augmenter les revenus de la ville. Paul Contrarié, porte-parole de «l’opposition», a déclaré : «C’est une stratégie de génie : prendre plus d’argent tout en faisant croire aux gens qu’ils sont libérés de quelque chose. On ne peut qu’admirer le génie politique derrière cela.»
En réponse aux critiques, le maire Pensepas a déclaré : «Nous sommes ici pour le bien-être de nos citoyens. Si cela signifie qu’ils doivent donner un peu plus de leur argent pour se sentir mieux, alors c’est un sacrifice que nous sommes prêts à faire en tant que responsables politiques.»
En fin de compte, la Ville de Québec semble être déterminée à libérer ses citoyens de la charge mentale du stationnement, même si cela implique de les libérer de quelques dollars supplémentaires dans le processus. Les rues de la ville peuvent maintenant être parcourues avec une tranquillité d’esprit accrue, bien que le portefeuille soit peut-être un peu plus léger. Une chose est sûre, Québec sait comment soulager ses citoyens, même si c’est au détriment de leur compte en banque.
