Dans une petite ville tranquille, un filet mignon bien ordinaire est devenu la star de l’heure après qu’une habitante locale, en pleine préparation d’un dîner dominical, ait affirmé y avoir découvert le visage du Christ. L’événement, baptisé le «Miracle Culinaires», a engendré une vague de perplexité parmi les habitants, en particulier chez les membres du groupe énigmatique des végans catholiques.

Pour certains, il ne s’agit que d’une simple coïncidence culinaire, mais pour d’autres, cette découverte remet en question les principes fondamentaux de leur mode de vie. Les végans catholiques, déjà déchirés entre leur engagement envers la protection des animaux et leur foi religieuse, sont maintenant confrontés à une nouvelle crise existentielle : Jésus aurait-il lui-même été un amateur de viande ?

Au sein de la chapelle locale, les discussions enflammées entre les fidèles végans et les traditionalistes carnivores ont transformé l’atmosphère habituellement paisible en un véritable champ de bataille théologique. Certains végans catholiques se demandent si leur refus de consommer de la viande n’est pas une hérésie déguisée, tandis que les plus traditionalistes s’amusent de la possibilité que Jésus ait peut-être savouré un bon filet mignon de temps en temps.

La confusion règne également chez les experts religieux, qui sont divisés quant à l’authenticité du visage supposé de Jésus. Certains estiment qu’il s’agit d’une simple formation de graisse et de muscle, tandis que d’autres voient dans les marbrures de la viande une évidence divine. Les débats font rage, et même le boucher local est devenu malgré lui le sujet de discussions passionnées sur la foi et la nutrition.

Pendant ce temps, les végans catholiques organisent des réunions spéciales pour discuter de cette révélation culinaire. Certains se demandent s’ils doivent réviser leur régime alimentaire, tandis que d’autres envisagent de créer une nouvelle branche de la foi, les «flexi-catholiques», prêts à adapter leur alimentation en fonction des signes divins.

Le «Miracle Culinaires» continue de diviser la petite ville, transformant un simple morceau de viande en une épreuve de foi et de convictions. Une chose est sûre : cette manifestation inattendue dans un filet mignon restera dans les annales de la gastronomie locale, quel que soit le verdict final sur son origine divine ou purement culinaire.

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