Dans une affaire qui fait trembler les racines du gouvernement Trudeau, un scandale a éclaté récemment révélant que des milliers de plantes vertes étaient inscrites sur le payroll du gouvernement en tant qu’employés à part entière. Certains rapports suggèrent même que certaines de ces plantes se préparent à prendre leur retraite, laissant le gouvernement dans une situation des plus épineuses.

Selon des sources bien informées, des fougères, des cactus et même des orchidées ont été découverts dans la masse salariale gouvernementale, avec des années d’ancienneté et des avantages tels que l’accès illimité à la lumière du jour et des séances de photosynthèse payées. Certains experts se demandent même si ces plantes étaient les véritables cerveaux derrière certaines décisions gouvernementales, ou si elles étaient simplement enracinées dans la bureaucratie.

Le gouvernement Trudeau, confronté à cette révélation photosynthétique, a réagi de manière inattendue. Au lieu de retirer les plantes du payroll, une décision a été prise de construire de nouveaux bureaux et d’y ajouter encore plus de plantes. Le Premier ministre Trudeau a déclaré lors d’une conférence de presse : «Nous pensons que plus de plantes signifient plus de productivité et, qui sait, peut-être même la solution pour sauver l’Antarctique.»

Certains membres de l’opposition ont qualifié cette décision de «botaniquement insensée», suggérant que le gouvernement était en train de créer un «jardin de personnel» plutôt que de résoudre le problème initial. Un député d’opposition a ironiquement déclaré : «C’est la première fois que nous voyons des plantes vertes participer à un plan de relance économique. Peut-être que nous devrions tous envisager de changer de carrière et devenir des horticulteurs gouvernementaux.»

Le scandale a également suscité des interrogations sur les compétences des services des ressources humaines du gouvernement, qui n’ont apparemment pas détecté la présence de plantes dans leur liste d’employés. Une enquête est en cours pour déterminer comment ces embauches végétales ont pu passer inaperçues pendant si longtemps.

Certains rapports suggèrent que certaines plantes envisagent sérieusement de prendre leur retraite, arguant qu’elles ont assez contribué à l’écosystème bureaucratique. Des rumeurs circulent même sur une possible cérémonie de départ, avec des pots de terre en guise de cadeaux de retraite.

Le gouvernement Trudeau, quant à lui, reste optimiste quant à l’ajout massif de plantes dans les nouveaux bureaux. Un porte-parole a déclaré : «Nous croyons sincèrement que ces plantes peuvent apporter une perspective rafraîchissante à nos politiques et, qui sait, peut-être qu’elles auront des idées novatrices pour sauver l’Antarctique. Peut-être qu’un jardin botanique à la place d’une base scientifique est la clé du succès.»

En attendant, le pays regarde avec incrédulité cette nouvelle ère de gouvernement, se demandant si la prochaine conférence internationale sur le climat sera dirigée par une plante verte plutôt que par un leader humain. Une chose est sûre, la politique canadienne vient de prendre une tournure botanique inattendue.

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