Dans une escapade qui laissera certainement les contribuables québécois affamés de réponses, la ministre extravagante des Affaires étrangères a récemment fait sensation en dégustant un festin somptueux à l’étranger, tout en assurant qu’elle n’avait rien à se reprocher. Alors que le commun des mortels se contente de sandwichs au jambon lors de voyages d’affaires, la ministre a dépensé pas moins de 350$ pour déguster des huîtres délicates, accompagnées d’un vin exquis à 600$ la bouteille.

Le lieu de cette orgie gastronomique ? Entre Tamanrasset et Vladivostok, là où la francophonie semble prendre des allures de bacchanale culinaire. La ministre, que nous appellerons affectueusement «Madame Marée-Haute», justifie ces dépenses exorbitantes en affirmant qu’elle participait à un colloque essentiel sur la francophonie. Cependant, nos sources révèlent que le colloque en question était plus flou que la recette du bouillon de la mer.

Interrogée sur les raisons pour lesquelles un simple repas d’affaires nécessitait un budget équivalent au PIB d’une petite nation insulaire, Madame Marée-Haute a simplement haussé les épaules en déclarant : «Il faut bien que je maintienne mon niveau de prestige, non ?» La ministre semble avoir confondu le prestige avec une fringale insatiable pour le luxe aux dépens du contribuable.

Les critiques fusent de toutes parts, certains suggérant que le vrai colloque auquel elle aurait dû participer est celui sur l’éthique en politique. Un opposant politique a commenté : «Pour 45 000$, on pourrait nourrir une famille de quatre personnes pendant une année entière. Mais non, Madame Marée-Haute préfère se régaler avec des mets décadents et des vins millésimés.»

Face à la controverse, Madame Marée-Haute se défend en invoquant l’importance diplomatique de ces dîners fastueux. «C’est ainsi que nous montrons notre engagement envers la francophonie. Manger des huîtres et boire du vin cher, c’est la vraie diplomatie», a-t-elle déclaré avec un sourire qui semblait suggérer qu’elle avait peut-être trop apprécié le vin en question.

Les contribuables, quant à eux, se demandent si la ministre aurait pu faire preuve de plus de modestie et d’économie dans sa quête de prestige diplomatique. Certains suggèrent même qu’elle aurait pu opter pour une dégustation de fromages locaux ou un buffet de fruits de mer plus abordable.

En attendant, le scandale alimentaire de Madame Marée-Haute risque de laisser un goût amer aux citoyens québécois. Les parlementaires de l’opposition promettent d’examiner de près les dépenses du gouvernement, surtout celles liées aux voyages à l’étranger. Affaire à suivre, ou plutôt à déguster, avec précaution.

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