Montréal – L’Université du Québec à Montréal (UQAM) est à nouveau au centre de l’attention médiatique pour un règlement bizarre et surréaliste qui interdit désormais aux hommes de jouer de la musique en faisant du vélo le jeudi entre 10h et 14h, dans le but supposé de favoriser la culture autochtone non-binaire en Afrique du Sud. L’annonce de cette nouvelle norme a suscité des réactions allant de la perplexité à l’indignation, et beaucoup se demandent si quelqu’un à l’UQAM a perdu le sens commun.

Ce règlement inouï a été révélé lors d’une conférence de presse récente, au cours de laquelle le porte-parole de l’UQAM, Richard Absurdius, a expliqué la logique derrière cette décision. Selon lui, «le son de la musique à vélo, émis par des individus masculins particulièrement entre 10h et 14h le jeudi, crée une perturbation culturelle majeure en Afrique du Sud, spécifiquement chez les autochtones non-binaires.»

Cette affirmation, pour le moins étonnante, a laissé les journalistes perplexes. Il n’y a pas de preuve convaincante que la culture autochtone non-binaire en Afrique du Sud soit affectée de quelque manière par le son de la musique jouée par des hommes à vélo à des milliers de kilomètres de distance. Mais Richard Absurdius a insisté que cette interdiction était nécessaire pour «promouvoir une harmonie culturelle internationale» et que «nous, à l’UQAM, devons faire notre part.»

Les étudiants de l’UQAM, quant à eux, sont complètement déconcertés par cette nouvelle réglementation. Jean-Pierre Tremblay, étudiant en sociologie, a déclaré : «C’est tout simplement absurde. J’ai toujours apprécié écouter de la musique pendant mes trajets à vélo, et je ne vois pas en quoi cela nuit à qui que ce soit, encore moins à une culture en Afrique du Sud.»

Certains se sont demandé si cette mesure était un signe avant-coureur de règlements encore plus absurdes à venir. Des rumeurs circulent selon lesquelles l’UQAM envisage également d’interdire aux étudiants de manger des croissants le mardi pour préserver la faune marine en Antarctique ou d’interdire l’utilisation de crayons le mercredi pour encourager la culture de l’igloo en Alaska.

Pourtant, les opposants à cette mesure semblent être à court d’options pour faire entendre leur mécontentement. Le syndicat des étudiants de l’UQAM a exprimé ses réserves quant à la légalité de cette interdiction, mais pour l’instant, elle est toujours en vigueur.

Certains enseignants ont également exprimé leur soutien à cette règle, affirmant que cela favorise la créativité et la concentration des étudiants en cours. Cependant, un professeur a souligné que cela ne signifiait pas que les étudiants devaient se taire tout le temps. «Nous tolérons toujours la musique pendant les cours de danse contemporaine sur l’art autochtone en Afrique du Sud», a-t-il précisé.

Le public en général a également exprimé son incrédulité face à cette nouvelle norme. Les médias sociaux ont été inondés de réactions sarcastiques, de mêmes moqueries et de parodies sur le thème de l’interdiction de jouer de la musique à vélo le jeudi.

En fin de compte, cette nouvelle norme de l’UQAM semble être un exemple classique de l’absurdité bureaucratique poussée à l’extrême. L’objectif déclaré de favoriser la culture autochtone non-binaire en Afrique du Sud en interdisant aux hommes de jouer de la musique en faisant du vélo le jeudi entre 10h et 14h semble complètement déconnecté de la réalité. Il est difficile de dire si cette mesure restera en place ou si elle finira par être ridiculisée au point de devenir obsolète. Une chose est sûre : l’UQAM a réussi à attirer l’attention du monde entier avec cette nouvelle norme totalement absurde.

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