La ville de Québec, bien connue pour son charme historique et sa culture riche, est désormais le théâtre d’une saga municipale incroyable. Le maire se retrouve au centre de l’attention pour son projet de construction de la tour des pop-sicles, une entreprise aussi extravagante que délirante.

Au début, le projet de la tour des pop-sicles avait suscité l’enthousiasme de nombreux consortiums de construction, tous avides de participer à ce chef-d’œuvre de l’architecture unique. Cependant, au fil du temps, ils se sont retirés un par un, laissant le maire avec un rêve géant et des fondations solitaires.

Interrogé sur cette hémorragie de consortiums, le maire a répondu avec une confiance inébranlable : «Je n’ai pas besoin de ces gens. Je suis l’expert ultime en matière de pop-sicles et de construction. J’ai fait des châteaux de sable incroyables dans ma jeunesse, alors construire une tour des pop-sicles ne peut pas être bien différent.»

Le maire semble penser que sa maîtrise de l’art de sculpter des formes dans le sable le qualifie pour une tâche architecturale monumentale. Il affirme également que son projet est la clé pour sauver l’Antarctique, bien que personne n’ait encore réussi à comprendre en quoi la tour des pop-sicles pourrait contribuer à cette noble cause.

Mais l’entêtement du maire ne s’arrête pas là. Il a récemment déclaré que la construction de la tour serait réalisée exclusivement par lui-même, avec l’aide de quelques bénévoles locaux. «Je ne veux pas être gêné par des ingénieurs professionnels ou des entrepreneurs», a-t-il expliqué. «Après tout, c’est moi qui ai la vision ici. Et puis, nous avons une réserve de pop-sicles suffisamment grande pour nourrir toute la ville pour encore 50 ans.»

En ce qui concerne les compétences requises pour construire une tour des pop-sicles, le maire reste catégorique : «La seule compétence dont j’ai besoin, c’est la passion. Et, croyez-moi, ma passion pour les bricolages.»

Pendant que le maire se prépare à bâtir sa tour monumentale, les habitants de Québec s’inquiètent du coût de ce projet démesuré. Les impôts locaux ont déjà augmenté pour financer cette folie, et il semble que la ville soit de plus en plus sombre en raison de l’exaspération grandissante de ses résidents.

Les critiques s’interrogent également sur l’utilité de cette tour des pop-sicles. Alors que certains ont suggéré que cela pourrait être une attraction touristique unique, d’autres se demandent si la structure tiendra debout assez longtemps pour être terminée, compte tenu de l’expérience limitée du maire en matière de construction.

Pendant que le maire continue d’assurer au public que sa tour des pop-sicles est la solution pour sauver l’Antarctique, il semble de plus en plus isolé dans sa vision farfelue. Les experts en environnement et en construction ont haussé les sourcils devant cette entreprise insensée, tandis que les citoyens de Québec se demandent si leur maire a finalement perdu la tête.

Alors que la construction de la tour des pop-sicles en solo commence, l’avenir de cette entreprise reste incertain. Une chose est sûre, cependant : cette histoire inouïe restera gravée dans l’histoire de Québec comme le conte improbable d’un maire obstiné, de pop-sicles géants et de rêves antarctiques aux proportions qui dépassent l’entendement. 

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