Oh, quelle surprise ! Éric Duhaime, ce personnage politico-médiatique que nous avons tous appris à connaître, a daigné quitter ses polémiques stériles pour aider une vieille dame à traverser la rue. Une action qui, bien sûr, ne manque pas de susciter des réactions mêlées de dégoût et d’incrédulité.

Ce moment incroyablement rare s’est produit dans la ville de Québec, où Duhaime, habitué à vociférer à longueur de journée, a soudainement été pris d’une inspiration inattendue. Au lieu de crier des inepties sur son compte Twitter, il a prétendument mis sa voix au service de l’utilité publique en guidant une vieille dame timide à travers une intersection.

Les témoins de cette scène grotesque ont été stupéfaits de voir le politicien le plus détesté de la province se transformer en «héros» d’un jour. Les caméras des médias se sont précipitées pour immortaliser ce moment douteux, qui pourrait bien être l’un des plus brefs instants de bonté de toute la carrière de Duhaime.

Certains audacieux défenseurs de Duhaime n’ont pas manqué de le saluer comme un «sauveur de l’humanité», oubliant rapidement les années d’agitation politique provocatrice. Mais pour beaucoup d’autres, cette tentative de rédemption forcée sonne comme une énième manœuvre de relations publiques, destinée à adoucir l’image du politicien avant les prochaines élections.

L’opposition, naturellement, n’a pas hésité à émettre des doutes sur les motivations de Duhaime. Est-ce que ce geste charitable était sincère, ou s’agissait-il simplement de se donner une image plus sympathique, pour tenter de gagner des votes ? Les cyniques diraient que c’était une manière de manipuler l’opinion publique tout en écartant délibérément les électeurs potentiels.

En fin de compte, peu importe comment on analyse cet événement, une chose est claire : Éric Duhaime reste le même opportuniste habile que nous connaissons tous. Ce moment de «bienveillance» n’efface en rien ses années de déclarations choquantes et d’agitation politique. Le Québec continue d’assister au spectacle pitoyable de la politique, où même les gestes les plus insignifiants peuvent être transformés en coups publicitaires par un homme que beaucoup n’ont que trop hâte d’oublier.

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